Publié dans Culture

« Chansons sans frontières » - Le concours prolongé jusqu’à dimanche

Publié le vendredi, 24 janvier 2025
Le concours « Chansons sans frontières » est prolongé jusqu’au 26 janvier Le concours « Chansons sans frontières » est prolongé jusqu’au 26 janvier

Le compte à rebours est lancé pour la 19e édition du concours international « Chansons sans frontières ». Les jeunes auteurs malagasy, passionnés d’écriture de chansons en français, ont jusqu'à ce dimanche soir pour soumettre leur participation. Ce concours, qui fait la promotion de la créativité francophone, est entièrement gratuit et s'adresse aux francophiles du monde entier, à l'exception de ceux qui résident en France. Lancé en décembre 2024, cet événement invite les participants à composer un texte de chanson, structuré autour de trois couplets et d'un refrain sur le thème évocateur « Et si la Terre chantait ? ». 

 

Pour ceux qui souhaitent approfondir leur compréhension du thème, des ressources sont disponibles sur le site officiel www.chansons-sans-frontieres.fr/le-concours, ainsi que sur la page Facebook dédiée à cette compétition. Ce concours a pour vocation de donner une voix aux jeunes talents, tout en favorisant un esprit de partage et d'ouverture. Les textes sélectionnés par deux jurys internationaux auront la chance d'être mis en musique par des artistes œuvrant au sein de l'organisation. 

 

Au fil des années, le concours « Chansons sans frontières » a su s'imposer comme un tremplin pour de nombreux auteurs. Lors de la 17e édition par exemple, Fanomezantsoa Rakotondrabary, un écrivain malagasy de 26 ans, a été récompensé par le deuxième prix dans la catégorie « Français langue maternelle » pour son œuvre « Les passagers du temps ». Créé en 2005, ce projet englobe une démarche novatrice, encourageant l'écriture de chansons en français dans 130 pays. Cette compétition est également une occasion d'aborder des thèmes liés aux droits de l’Homme et à la liberté d’expression, tout en s'inscrivant dans une dynamique culturelle moderne et éthique. Chaque édition représente une opportunité de créer nouveaux échanges interculturels, favorisés par des initiatives artistiques variées. Le lauréat remportera un séjour pour deux personnes en France, tous frais payés, tandis que les cinq autres gagnants recevront respectivement des récompenses de 500, 400, 200, 150 et 100 euros.

 

Si.R

Fil infos

  • Elections consulaires des Français de l’Etranger - La liste Français du Monde revendique une meilleure prise en charge sociale
  • Refondation - « L’espoir d’un véritable renouveau démocratique s’amenuise », dixit la société civile
  • Direction Générale de l’ARAI - Un homme de l’intérieur prend les rênes
  • Premières pluies - Les infrastructures déjà mises à très rude épreuve
  • Actu-brèves
  • HCC - Trois anciennes ministres réintègrent l’Assemblée nationale
  • Concertation nationale - LES RECOMMANDATIONS D’UN CITOYEN D’AMBATONDRAZAKA
  • Détention de Rinah Rakotomanga - Son avocate dénonce des dessous politiques
  • Actu-brèves
  • Loi de finances - Nouveau huis clos des députés

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Désagrément séculaire
    Antananarivo, la ville basse, vit tous les ans les difficultés humainement gênantes dues aux caprices des eaux en période de pluie. En 1610, quand le Roi Andrianjaka, le demi-frère d’Andriatompokoindrindra, se décida de déménager le chef-lieu de son royaume d’Ambohimanga, à Analamanga, il ne comptait pas, à jamais d’ailleurs, s’installer sur la vaste plaine de Betsimitatatra mais il choisit le site d’une colline hautement perchée surplombant ladite plaine. Un choix délibéré et assumé ! Notons qu’Analamanga n’était pas un lieu inhabité. A son arrivée, des occupants s’y installaient déjà : les Vazimba. Ces derniers y vivaient paisiblement. Au moment où les guerriers – éclaireurs envoyés par le souverain d’Ambohimanga frappèrent à la porte, les Vazimba, premiers occupants de la Colline bleue n’ont pas déployé de la résistance. Ils obtinrent en revanche l’assurance de pouvoir se déménager à Antehiroka.

A bout portant

AutoDiff